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Ligue Communiste des Travailleurs

Section belge de la Ligue Internationale des Travailleurs -
Quatrième Internationale (LIT-QI)

« L'émancipation des travailleurs sera l'œuvre des travailleurs eux-mêmes. » K. Marx

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Pour l'annulation du Mémorandum et la suspension immédiate du paiement de la dette !

La situation politique en Grèce a attiré l'attention du monde pendant des semaines. Le résultat des élections législatives, décisif pour la formation du gouvernement, a tenu en haleine toutes les puissances impérialistes, en particulier les forces conservatrices et réactionnaires de l'Europe du capital.

Non au « sauvetage » européen, non a l’intervention de l’Union européenne !
Suspension immédiate du paiement de la dette publique aux banquiers !Expropriation des banques !

Contre la troïka et ses plans d'austérité

Pour un front qui prépare un gouvernement de gauche, rejette le mémorandum et mette sur pied un plan de sauvetage des travailleurs et du peuple

Les résultats des élections du 6 mai en Grèce reflètent le rejet massif du peuple grec aux constants « programmes d'ajustement » imposés par la Troïka (UE-BCE-FMI). Les élections ont confirmé la chute du gouvernement de Luca Papademos, l'ancien chef de la BCE que la Troïka avait imposée sans appeler le peuple aux urnes.

Lire une déclaration de la LIT-QI

Manifestation européenneManifestation européenne le 28 mars 2012 à Bruxelles

Refusons la privatisation des transports en Europe!
Le 28 mars 2011 la Commission européenne a publié un « Livre blanc » des transports demandant « l’ouverture du marché » à l’ensemble des secteurs des transports. Un an plus tard, de nombreux syndicats européens des transports appellent à une manifestation unitaire à Bruxelles, pour refuser que la loi du fric organise les transports en Europe. A leur privatisation, opposons notre socialisation !

Les mesures d’austérité : « Pas touche à l’index » ?

Voici un bref aperçu des mesures d’austérité pour la Belgique publiées au Moniteur le 30 décembre 2011. Outre quelques mesures fiscales qui nuisent surtout aux modestes revenus, elles concernent essentiellement le chômage et les fins de carrière. Il est clair que ce n’est qu’une première salve. Il s’agit, pour le moment, de ne pas encore heurter de front l’ensemble de notre classe. Mais d’autres mesures, en particulier sur les salaires, sont bel et bien en chantier.

La grève des accompagnateurs de train de Bruxelles

Le 1er février, les accompagnateurs du dépôt de Bruxelles-Midi sont partis en grève spontanée, à une très large majorité. Ils s’opposaient à la suppression de la permanence de leur CAT (Centre Accompagnement de Train). Pour la Direction, il s’agissait de la phase 0 (phase test) du processus de restructuration et de concentration des permanences de l’ensemble du pays. Conséquence évidente de la diminution drastique de la dotation allouée au chemin de fer dans l’Accord de gouvernement, leur objectif annoncé est de supprimer 17 ETP (équivalent temps plein) et de réaliser une économie d’un million d’euros par an.
   Si le mouvement n’a pas permis jusqu’à présent de récupérer la permanence, il a renforcé la collectivité des accompagnateurs et a remis la lutte syndicale au premier plan.
   Voici une interview d’un membre du personnel roulant.

A bas le diktat de l’Union européenne !

Lire aussi, dans Presse Internationale nr.84 :
Y a-t-il une solution à la crise de la dette, dans le cadre de l'UE et de l'euro ?

Le jeudi 5 janvier, le Commissaire européen Olli Rehn envoya une lettre au gouvernement Di Rupo qui lui imposait d’adopter des coupes de 1,2 à 2 milliards d’euros dans le budget 2012, exigeant une réponse « au plus tard pour lundi matin » (9 janvier). Le lendemain, le gouvernement gela des dépenses publiques pour le montant requis. Le « socialiste » à la tête du gouvernement se limite à regretter la crise, causée par « la cupidité d’une partie du monde de la finance ».[1] Et aux militants de la CGSP qui dénoncent les « mesures antisociales du gouvernement », il exhorte à « ne pas dire de choses excessives, au risque de conduire les citoyens vers l’abime ».[2]

Amplifions la solidarité envers Pinheirinho !
Alckim l’assassin doit être dénoncé !

Dimanche 22 janvier, six heures du matin. Cette date va rester gravée dans la mémoire des activistes de tout le Brésil comme un symbole de plus de la violence du Capital contre les travailleurs pauvres. L’expulsion de Pinheirinho par 2000 soldats de la Police Militaire, ordonné par le gouverneur de l’Etat de São Paulo, M. Alckim, s’ajoute à la violente répression d’Eldorado de Carajás (Pa) et de Corumbiaria (Ro), durant lesquelles les paysans furent assassinés par les troupes envoyées par les gouvernements du PSDB (Parti de la Social-Démocratie Brésilienne).