A bas le diktat de l’Union européenne !
Lire aussi, dans Presse Internationale nr.84 :
Y a-t-il une solution à la crise de la dette, dans le cadre de l'UE et de l'euro ?
Le jeudi 5 janvier, le Commissaire européen Olli Rehn envoya une lettre au gouvernement Di Rupo qui lui imposait d’adopter des coupes de 1,2 à 2 milliards d’euros dans le budget 2012, exigeant une réponse «
au plus tard pour lundi matin » (9 janvier). Le lendemain, le gouvernement gela des dépenses publiques pour le montant requis. Le « socialiste » à la tête du gouvernement se limite à regretter la crise, causée par «
la cupidité d’une partie du monde de la finance ».[1] Et aux militants de la CGSP qui dénoncent les « mesures antisociales du gouvernement », il exhorte à «
ne pas dire de choses excessives, au risque de conduire les citoyens vers l’abime ».[2]
Lire la suite : NON à l'UE
Amplifions la solidarité envers Pinheirinho !
Alckim l’assassin doit être dénoncé !
Dimanche 22 janvier, six heures du matin. Cette date va rester gravée dans la mémoire des activistes de tout le Brésil comme un symbole de plus de la violence du Capital contre les travailleurs pauvres. L’expulsion de Pinheirinho par 2000 soldats de la Police Militaire, ordonné par le gouverneur de l’Etat de São Paulo, M. Alckim, s’ajoute à la violente répression d’Eldorado de Carajás (Pa) et de Corumbiaria (Ro), durant lesquelles les paysans furent assassinés par les troupes envoyées par les gouvernements du PSDB (Parti de la Social-Démocratie Brésilienne).
Lire la suite : Brésil : Solidarité avec Pinheirinho
La crise grecque approfondit la crise de l'Europe du capital
Cela a couté cher à Papandréou de prendre des allures « démocratiques ». Dans une escalade d'évènements, après son intention à la fois fausse et contestée de soumettre le deuxième plan brutal de « sauvetage » de la
Troïka (Commission européenne, Banque centrale européenne et FMI) à un référendum populaire, la nouvelle réalité est que le chef de gouvernement lié au PASOK social-démocrate a dû s'en aller et que la Grèce a désormais un nouveau Premier ministre.
Lire la suite : Le referendum de Papandreou
Avec le peuple grec contre le « plan de sauvetage » !
L'Union européenne est l'Europe du capital et de la crise !
Papandréou, le contremaître de la Troïka (la Commission européenne, la Banque centrale européenne et le FMI), qui en moins de deux ans a soumis le peuple grec à cinq plans successifs d'ajustement, chacun d'eux plus brutal que le précédent, a annoncé le 2 novembre un référendum sur le deuxième « plan de sauvetage » de la Grèce, adopté quelques jours plus tôt lors du sommet européen de fin d'octobre.
Lire la suite : Corriente Roja sur le retrait du referendum
25 août 2011
La lutte héroïque du peuple syrien s'intensifie, malgré la répression sanglante
Tout le soutien à la lutte du peuple syrien
pour la chute du régime assassin d'Assad !
Le monde arabe est en flammes. La révolution et la contre-révolution mènent une bataille à mort : c'est le sang, la poudre et les barricades, les poings levés et les cris de liberté.
Lire la suite : La lutte héroïque du peuple syrien
mars 2012
La guerre civile marque les étapes de la révolution
C'est un fait. Dans le cadre du processus révolutionnaire impressionnant qui secoue l'Afrique du Nord et le Moyen-Orient, la lutte des classes en Syrie a atteint son apogée : la guerre civile.
Lire la suite : Syrie
A bas les plans du gouvernement et des banquiers !
Une autre issue à la crise est possible !
La rue a parlé !
Voici un commentaire de la Coordination nationale de Corriente Roja
le mercredi, le 18 mai 2011
Le 15 mai dernier, des dizaines de milliers de manifestants sont descendus dans la rue dans tout l'Etat espagnol, exprimant le ras-le-bol accumulé depuis le début de la crise : 40 000 à Madrid, 13 000 à Barcelone, 8 000 à Séville, 5000 à Las Palmas, 3 000 à Cordoba, 1 000 à Salamanque...
Ces manifestations, les plus massives après la grève générale du 29 septembre, sont une bouffée d'air frais, après la vague de contre-réformes et de coupes sociales, le chômage massif, l'attaque aux pensions, la migration et la dépendance économique, le salaire qui est loin de durer jusqu'à la fin du mois. Cela montre qu'il y avait des conditions pour donner une continuité à la grève générale et les manifestations de masse et d'incorporer une proportion importante de jeunes et des classes moyennes à cette lutte.
Lire la suite : Espagne
C’est ce que disent des jeunes de la FGTB[1], mais on n’en parle pas dans les médias. Par contre, quand cinq étudiants « politiquement neutres », qui « n’y comprennent pas grand chose », disent qu’il faut absolument avoir un gouvernement, quel qu’il soit, et organisent pour cela une manifestation, l’appel est relayé tambour battant pendant une semaine sur toutes les chaînes. Cette marche finit par rassembler 30 mille personnes dans les rues de Bruxelles. Alors que chacun y va du «besoin impérieux d’un gouvernement», force est de constater que la Belgique n’est pas, comme certains pourraient le croire, laissée à l’abandon : un gouvernement « en affaires courantes » existe bel et bien et mène le travail à l’ombre.
Lire la suite : Avoir un gouvernement n’est pas une fin en soi