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Ligue Communiste des Travailleurs

Section belge de la Ligue Internationale des Travailleurs -
Quatrième Internationale (LIT-QI)

« L'émancipation des travailleurs sera l'œuvre des travailleurs eux-mêmes. » K. Marx

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25 janvier 2019

Non à l'ingérence impérialiste et de la droite continentale au Venezuela.

Aucune reconnaissance du gouvernement autoproclamé et pro-impérialiste de Juan Guaidó. Que ce soit les masses travailleuses qui expulsent Maduro du pouvoir. Pour la construction d'une alternative indépendante de la classe ouvrière et du peuple pauvre.
   Il y a une ingérence impérialiste au Venezuela, avec l’autoproclamation de Juan Guaidó comme président intérimaire de la République, le 23 janvier de cette année. Cela avait déjà été convenu avec Donald Trump, qui a ensuite reconnu et soutenu le « président en affaires courantes ». C’est honteux qu'un président étasunien essaye de nommer le président d’un autre pays depuis Washington, dans une attitude clairement interventionniste. Et les gouvernements marionnettes de la droite continentale lui ont emboîté le pas, avec à leur tête Piñera (Chili), Bolsonaro (Brésil), Macri (Argentine) et Duque (Colombie). Les autres pays du groupe de Lima (à l'exception du Mexique) ont adopté la même position, tout comme l'OEA.

Voici une déclaration de Unidad Socialista de los Trabajadores (UST),
face aux événements politiques du 23 janvier.

15 août 2017
Une déclaration de la LIT-QI

Trump, pas touche au Venezuela !

Le président étasunien, Donald Trump, a déclaré qu'il n'excluait pas « l'option militaire » au Venezuela pour résoudre la crise du pays. Il s’agit d’une menace de la part de la plus grande puissance impérialiste contre un pays semi-colonial.

9 août 2017
Une déclaration de la LIT-QI

Où va le Venezuela ?

La crise politique du Venezuela est une ligne de partage des eaux dans toute la gauche latino-américaine et mondiale. La majorité de la gauche réformiste s'aligne avec le gouvernement de Maduro « contre le coup d'Etat ». Il s'agit d'une manœuvre criminelle pour cacher le fait que le vrai putsch est l'œuvre de Maduro, qui impose une dictature au service de la « bolibourgeoisie ».

22 février 2014

Le Venezuela révèle la crise des gouvernements populistes et de Front populaire

Le 18 février dernier, après plusieurs jours de manifestations menée par l'opposition et d'affrontements sanglants avec les forces de l'ordre et les groupes paramilitaires du gouvernement, Leopoldo Lopez, un dirigeant de l'opposition, fut arrêté quand il s'est présenté à la police, accusé « d'incitation à la violence » contre le gouvernement de Nicolás Maduro.

Ni Maduro ni caprilesUn coup dur pour le gouvernement chaviste

Nicolas Maduro a gagné les élections du 14 avril avec un score de 50,78 % (7 575 506 voix), contre Enrique Capriles qui a remporté 48,95 % (7 302 641 voix). Ce triomphe avec une différence de seulement 1,83 % (272 865 voix), au-delà du fait que c'est une victoire électorale, représente un revers politique important pour le chavisme, qui a perdu, entre octobre 2012 et avril 2013, 615 626 voix capitalisées par Capriles.
   Cela signifie donc un progrès considérable de l'opposition de droite, qui s'est même permis de ne pas reconnaître le résultat « avant que toutes les voix ne soient recomptées ».