Ligue Communiste des Travailleurs
Section belge de la Ligue Internationale des Travailleurs -
Quatrième Internationale (LIT-QI)
« L'émancipation des travailleurs sera l'œuvre des travailleurs eux-mêmes. » K. Marx
Ce premier mai nous célébrons la journée internationale de lutte de toute notre classe. Nous célébrons toutes nos luttes : celles pour améliorer nos conditions de vie, celles pour changer ce système capitaliste qui nous impose, via ses gouvernements, des plans d’exploitation de plus en plus durs, au nom de leurs maudits profits. Car il n’y a que cela qui les intéresse, peu importe que cela tue des millions de personne, provoque des pandémies, des guerres, ou détruise notre planète. (...)
Lisez la suite de notre déclaration dans notre journal.
Sommaire:
Vive le 1er Mai de lutte ! Unité des luttes !
2 grèves chez bpost : 2 méthodes, 2 résultats…
Agression fasciste à la manifestation contre les violences machistes
Terwijl wij ons afvragen hoe we onze rekeningen gaan betalen, nemen de regeringspartijen maatregelen die de bazen leuk vinden. En hun federatie, de VBO, heeft de mond vol inzake "goed nieuws": verlaging van de norm voor zondheidszorg, aanval op deeltijdwerk, langdurige zieken weer aan het werk zetten, verhoging van het budget voor de militaire industrie, enz. Alle partijen zijn het erover eens dat het erom gaat "de koopkracht van de huishoudens en het concurrentievermogen van bedrijven" te verbeteren, terwijl ze tegelijkertijd klagen dat "de loonkosten het concurrentievermogen bedreigen...". Het is het één of het ander. Staan ze aan de kant van de arbeiders of van de bazen?
Voor gans onze klasse wordt de situatie met de dag slechter, en zelfs door de indexering kunnen de lonen niet worden bijgehouden. Energie is duur, en de olieprijs, de belangrijkste factor in deze stijging, wordt sinds 2015 niet meer opgenomen in de berekening van de index.
Lire la suite : Voor een echte algemene staking, gecontroleerd door de arbeiders aan de basis!
Pendant que nous nous demandons comment nous allons payer nos factures, les partis du gouvernement prennent des mesures qui réjouissent les patrons. Et leur fédération, la FEB, à de quoi parler « d’éclaircies » : diminution de la norme des soins de santé, attaques des temps partiels, remise au travail des malades de longue durée, augmentation du budget pour l’industrie militaire, etc. Tous les partis se disent d'accord sur le fait qu'il s'agit d'améliorer « le pouvoir d'achat des ménages et la compétitivité des entreprises », alors qu'en même temps ils se plaignent que « le coût salarial menace la compétitivité... ». C'est l'un ou l'autre. Sont-ils du côté des travailleurs ou des patrons ?
Pour l’ensemble de notre classe, la situation s’aggrave de jour en jour et même l’indexation ne permet pas aux salaires de suivre. L'énergie est chère, et le prix du pétrole, principal facteur de cette hausse, n'est plus pris en compte dans le calcul de l'index depuis 2015.
Lire la suite : Pour une réelle grève générale, contrôlée par les travailleurs à la base !
Le nouveau CEO, Dirk Tirez, déclare sur tous les tons dans la presse que l’avenir de bpost, c’est la fusion du service courrier avec le service colis, que tout cela se fera sans licenciements directs, que bpost acceptera des colis de plus en plus tard de ses clients dans les centres pour une livraison plus rapide. Ajoutons que tout cela se fera avec des véhicules électriques et des panneaux solaires sur les toits des bâtiments, bref un avenir radieux pour une entreprise qui a fait, rien que le denier semestre de 2021, 39 millions d'euros de bénéfices.
Par: Ligue Communiste des Travailleurs
Section de la Ligue Internationale des Travailleurs - QI en Belgique
27 octobre 2021
Le gouvernement parle de relance économique et d’amélioration de la situation, mais pour qui ? Certainement pas pour nous, les travailleurs, comme le montrent les récentes annonces de licenciements massifs et l’augmentation des prix de l’énergie. Cela c'est encore aggravé avec la pandémie, en particulier chez bpost. Avec le Covid-19, le commerce en ligne à connu une évolution spectaculaire, c’est-à-dire plus de bénéficeS pour les actionnaires, mais plus de travail pour les travailleurs.