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Ligue Communiste des Travailleurs

Section belge de la Ligue Internationale des Travailleurs -
Quatrième Internationale (LIT-QI)

« L'émancipation des travailleurs sera l'œuvre des travailleurs eux-mêmes. » K. Marx

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Le 30 septembre 2010, c'est bien une révolte de police qui a eu lieu, pas un coup d'Etat.
   Correa utilise la menace d'un putsch pour continuer à attaquer les travailleurs. Le gouvernement de Correa est aujourd'hui la grande menace pour les travailleurs et le peuple de l'Equateur.
Lire une Déclaration de la LIT-QI
A bas les putschistes - Résistance PopulaireLe 30 octobre dernier, un accord a été signé entre les représentants du gouvernement putschiste de Roberto Micheletti et ceux du président démis, Manuel Zelaya. L'accord, appelé « de Guaymuras » (le premier nom que les Espagnols donnèrent au Honduras), fixe le retour possible de Zelaya au pouvoir.

NON à l'autonomie fascisteEvo capitule encore une fois devant l'extrême droite

Après plusieurs jours d'extrême tension dans la confrontation entre le gouvernement d'Evo Morales, d'une part, et les gouverneurs et la bourgeoisie d'extrême droite de la « Media Luna », d'autre part, la situation a débouché sur une négociation officielle entre le gouvernement et ces gouverneurs (groupés dans la Conalde - Coordination Nationale Démocratique), pour arriver à un accord.

Mettons en échec l'offensive de l'extrême droite de la Media Luna !

La Bolivie vit des moments de tension énorme sous l'action violente et de grande envergure de groupes armés de droite. Il s'agit des soi-disant Comités Civiques des quatre départements de la « Media Luna » (Santa Cruz, Tarija, Beni et Pando) et de l'Union de la Jeunesse de Santa Cruz.

Répression au Paraguay de LugoLes élections du 20 avril 2008 au Paraguay avaient donné la victoire à la coalition de l'ancien évêque catholique Fernando Lugo, une alliance de front populaire soutenue par toute la gauche, sauf le Parti des Travailleurs (PT), la section paraguayenne de la LIT-QI. A ce moment, ce parti disait : « Il est impossible que Lugo fasse une réforme agraire radicale ou qu'il mette en oeuvre un plan économique au service des travailleurs, en ayant comme colonne vertébrale de son gouvernement le PLRA et d'autres secteurs des classes possédantes. »[1] Il n'a fallu que quelques mois pour que le nouveau gouvernement montre sa face réelle, celle de la répression et la persécution des travailleurs et des paysans.