logo-IV-LCT.jpg

Ligue Communiste des Travailleurs

Section belge de la Ligue Internationale des Travailleurs -
Quatrième Internationale (LIT-QI)

« L'émancipation des travailleurs sera l'œuvre des travailleurs eux-mêmes. » K. Marx

Newsletter

22 septembre 2014

Non aux plans impérialistes d'attaquer la Syrie !

Un mois après le début des frappes aériennes « précises et limitées » des Etats-Unis contre les positions de l’Etat islamique (EI, anciennement appelé l’Etat islamique d'Irak et du Levant), le président Obama a annoncé sa décision d'étendre non seulement les opérations militaires à davantage de localités dans le nord-ouest de l'Irak[1], mais aussi d'attaquer les zones contrôlées par EI en Syrie.

25 janvier 2014

Le 25 janvier, pour une journée mondiale d'activités de solidarité avec les Palestiniens de Yarmouk

La guerre civile en Syrie, entre le régime génocidaire de Bachar al Assad et les forces rebelles qui luttent contre la dictature, se poursuit.

17 janvier 2014
Juan Parodi

La rébellion La révolution fait face ouvertement aux djihadistes

Depuis des mois, le rejet du dénommé Etat islamique de l'Irak et de la Syrie (EIIL), le principal groupe djihadiste, ne cesse d'augmenter. Ce groupe, dont le principal soutien financier et de combattants se trouve à l'étranger, s'est consolidé dans les zones précédemment libérées de la dictature.

14 octobre 2013
Ronald León Nuñez

Faut-il exiger des armes à l’impérialisme ?

« Celui qui attend la révolution sociale ''pure'' ne la verra jamais. Ce serait un révolutionnaire de salon, qui ne comprend pas la vraie révolution. »
   Lénine, 1916

En analysant la situation de la guerre civile en Syrie, c’est quasi un consensus que la dictature d’El Assad détient une supériorité militaire sur l’Armée syrienne libre (ASL) et l’ample treillis de milices qui luttent pour mettre en échec sa tyrannie.

27 septembre 2013

Après la menace d'intervention, les Etats-Unis reculent de façon retentissante.

Face à l'attaque meurtrière d’Assad avec des armes chimiques contre les zones contrôlées par les rebelles à Damas, les Etats-Unis ont annoncé en grande fanfare qu’ils bombarderaient la Syrie parce qu’Assad avait « franchi la ligne rouge ».