1er juillet 2014 - Ricardo Ayala
Un vote contre l'austérité, l'UE et l'euro, capitalisé par la droite
Le résultat des élections européennes est considéré par certains médias impérialistes comme un véritable séisme politique, sans parler de l'importante abstention, qui a atteint plus de 80 % dans certains pays.
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29 juin 2014
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Une machine de guerre contre les travailleurs et les peuples
L’étroite marge de manœuvre du capital financier en Europe, face à la compétition mondiale des grands monopoles, ne peut être agrandie ou maintenue que si la limite imposée par les salaires et les conquêtes sociales du prolétariat se rétrécit. Une nouvelle période de croissance économique, soutenue par de nouveaux investissements, n’est possible que si l’impérialisme parvient à imposer au prolétariat européen des conditions d’existence très inférieures à la norme établie depuis la Seconde Guerre mondiale. La décadence économique du continent impose de plus en plus de sacrifices au prolétariat : c'est la condition pour qu’une poignée d’Etats impérialistes européens, associés à l’impérialisme étasunien, puissent continuer le pillage de leur propre périphérie européenne et du monde.
Lire la suite : L'Union européenne
A bas le diktat de l’Union européenne !
Lire aussi, dans Presse Internationale nr.84 :
Y a-t-il une solution à la crise de la dette, dans le cadre de l'UE et de l'euro ?
Le jeudi 5 janvier, le Commissaire européen Olli Rehn envoya une lettre au gouvernement Di Rupo qui lui imposait d’adopter des coupes de 1,2 à 2 milliards d’euros dans le budget 2012, exigeant une réponse «
au plus tard pour lundi matin » (9 janvier). Le lendemain, le gouvernement gela des dépenses publiques pour le montant requis. Le « socialiste » à la tête du gouvernement se limite à regretter la crise, causée par «
la cupidité d’une partie du monde de la finance ».[1] Et aux militants de la CGSP qui dénoncent les « mesures antisociales du gouvernement », il exhorte à «
ne pas dire de choses excessives, au risque de conduire les citoyens vers l’abime ».[2]
Lire la suite : NON à l'UE
juin 2013
Arrêter la catastrophe sociale : lutter pour une Europe des travailleurs et des peuples.
Un Manifeste « promu par un certain nombre d'économistes au sein de la gauche » vient de paraître sous le titre :
Que faire de la dette et de l'euro ? Parmi les signataires, il y a notamment Francisco Louça, ancien député du
Bloc de gauche du Portugal et membre du Comité International de la IVe Internationale (l'ancien Secrétariat unifié), ainsi que Catherine Samary et Michel Husson, de la France, et Daniel Albarracin d'Espagne. Ils présentent le Manifeste comme une proposition alternative, à partir de la gauche, pour faire face à la crise de la dette – qui a condamné la périphérie de l'Europe à la catastrophe sociale et a terrassé la souveraineté de ces pays.
Lire la suite : En réponse au Manifeste : Que faire de la dette et de l'euro ?
A bas les plans de coupes sociales de l'UE !
NON au pillage des travailleurs et du peuple
A bas la Troïka et ses gouvernements
La dette n'est pas la nôtre
Le 14 novembre, les travailleurs du Portugal, de la Grèce, de l'Italie et de l'Etat espagnol seront,
pour la première fois dans l'histoire, face à une grève générale qui couvrira plusieurs pays européens. L'unité dans la lutte et dans les revendications des travailleurs européens est une nécessité impérative. (
Lire le tract de la LCT)
Lire la suite : La grève générale : unir les travailleurs européens