16 avril 2015
Solidarité avec la lutte du peuple grec
Une déclaration du Comité Exécutif International de la LIT-QI (pdf)
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La victoire électorale de Syriza, le 25 janvier dernier, est principalement une victoire des travailleurs et du peuple grec, qui ont réussi à se débarrasser du gouvernement de la Troïka et à faire reculer le PASOK.
Cette victoire tactique est expliquée principalement par la ténacité du peuple grec qui, avec ses 35 grèves générales et de nombreuses protestations, a d'abord soumis à l'usure puis a mis en échec les partis qui ont pillé le pays aux ordres du diktat de la Troïka.
Le triomphe du peuple grec montre qu'il est possible d'en finir avec les gouvernements laquais du FMI, de l'UE et de la BCE.
Lire la suite : Une déclaration du CEI de la LIT-QI
9 mars 2015
La lutte du peuple grec et Syriza
Nous avons réuni dans une brochure trois textes écrits en différents moments de la lutte du peuple grec qui a placé ses espoirs dans Syriza.
Et nous y avons ajouté une annexe sous le titre «
Les partis ‘‘néo-réformistes’’ et leur politique de ‘‘refondation’’ de l’UE ». C’est le 2e chapitre d’un compte-rendu, sous le titre
« L’Union européenne : une machine de guerre contre les travailleurs et les peuples », des discussions concernant la situation en Europe, lors du XIe Congrès de la LIT-QI, en avril 2014.
Lire la brochure
28 février 2015
Ricardo Ayala et Felipe Alegría, de Corriente Roja, la section espagnole de la LIT-QI
Il n’y a pas de solution sans la suspension immédiate du payement de la dette
Face à l’ultimatum de l’Union européenne (UE), le gouvernement Tsirpas avait deux options : maintenir son accord avec le peuple grec et annuler le Mémorandum ou capituler à l’impérialisme européen, qui exigeait de lui une reddition en règle. Malheureusement, Tsirpas a capitulé.
Lire la suite : Capitulation de Syriza au chantage de l’UE
27 janvier 2015
Secrétariat International – LIT-QI
Syriza canalise un énorme rejet populaire des attaques de la troïka européenne
Le parti Syriza est sorti largement victorieux des élections grecques, bien au-delà de ce que prévoyaient les enquêtes. Le parti
Nouvelle Démocratie (ND) de l'actuel premier ministre Andonis Samaras – le principal exécutant des attaques économiques très dures contre la population, exigées par la troïka (UE, BCE, FMI) en échange de deux « sauvetages » de 240 milliards d'euros – a été le grand perdant.
Lire la suite : Victoire de Syriza
9 janvier 2015
Les élections grecques et la possibilité d’un gouvernement Syriza
Après la tentative avortée du Premier ministre Andonis Samaras de désigner son candidat Stavros Dimas à la présidence, en trois votes successifs au Parlement, le gouvernement a été contraint d'anticiper les élections.
Dans ce contexte, l'enjeu en Grèce dépasse largement les frontières de la péninsule hellénique. La défaite des partis du Mémorandum, la victoire de la gauche grecque et la formation d'un gouvernement qui s’oppose à la Troïka seraient une victoire pour tous les travailleurs européens, leur montrerait à tous qu’il est possible de vaincre la Troïka, et ouvrirait un espace beaucoup plus favorable pour la résistance aux ajustements.
Cette possibilité existe. Mais il y a deux obstacles majeurs à surmonter avant que cela ne devienne réalité : Syriza doit encore consolider sa majorité aux élections ; et, non moins important, en cas de victoire électorale, dans quelle mesure Syriza serait-elle prête à résister aux pressions de l'impérialisme européen et américain pour arrêter la catastrophe sociale en Grèce ?
Lire un article de
Corriente Roja, la section espagnole de la LIT-QI, sur ce thème.