13 juillet 2015
Secrétariat International de la LIT-QI
Le peuple grec a dit NON...
Mais Tsipras et le gouvernement de Syriza
ont dit OUI
« Ça, ce n'est pas ce que nous avons voté, non, » disait Anna, une employée de banque. « Les gens sont très déçus. Ce sont les mêmes mesures que celles d'avant le Référendum, » disait Panayiota, qui gère le café du quartier.
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8 juillet 2015
Comité Exécutif de la LIT-QI
Non, c’est non
La victoire éclatante du Non au référendum grec (62,29 %) est, contre vents et marées, une victoire du peuple. C’est une défaite sans précédent de la Troïka, de Merkel, de Hollande, de Renzi et de Rajoy. C’est la défaite du chantage terroriste de l'impérialisme qui, après avoir pillé et ruiné tout un pays en jetant des millions de personnes dans la pauvreté, a le culot de dire : « c’est nous ou l’abîme ».
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5 juillet 2015
Grande victoire du NON dans le référendum
Les résultats sont connus : Le NON obtient une très large victoire (62 contre 38 %). Le peuple grec a encore une fois montré sa volonté de ne pas reculer face aux diktats de la troïka de l'UE et sa volonté de se battre.
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12 juin 2015
Face au diktat impérialiste :
Suspendre le payement de la dette et nationaliser la banque !
Des négociations sont en cours entre le gouvernement grec et les dirigeants de l'impérialisme européen. Le paquet de mesures exigé par l'impérialisme n'est rien de moins que la signature du statut de colonie suivie d'une véritable déclaration de guerre contre la classe ouvrière : il exige le maintien intégral du plan de privatisations – initié par le gouvernement d'Antonis Samaras (Nouvelle Démocratie) – des aéroports et des ports du Pirée et de Thessalonique ; la mise en œuvre de la réforme des pensions (c'est-à-dire de les baisser et de mettre fin aux retraites anticipées) ; le maintien de la suspension de la négociation collective salariale et des conditions de travail ; et la révision du droit de grève et de la loi réglementant les licenciements collectifs (ERES), évidement pour rendre ceux-ci plus faciles.
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12 mai 2015
Secrétariat International de la LIT-QI
Le gouvernement de Syriza retire des fonds des hôpitaux, pour payer la dette publique
Suite à l’accord signé le 20 mars passé entre le gouvernement de Syriza et la « Commission de Bruxelles » (nom « politiquement correct » pour rebaptiser la vieille Troïka, formée par l’Union européenne [UE], la Banque centrale européenne [BCE] et le FMI), une nouvelle ronde de négociations est en cours sur la dette externe grecque. Mais pour que ce nouveau « refinancement », un simple mouvement comptable, se concrétise, le gouvernement grec doit réaliser le payement effectif des intérêts venus à terme.
Pour garantir ces payements, le gouvernement de Syriza a fait voter au Parlement une loi d’austérité très dure, selon laquelle tous les organismes de l’Etat (depuis les communes jusqu’aux hôpitaux) sont obligés de mettre à disposition du gouvernement leurs fonds de caisse.
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