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Ligue Communiste des Travailleurs

Section belge de la Ligue Internationale des Travailleurs -
Quatrième Internationale (LIT-QI)

« L'émancipation des travailleurs sera l'œuvre des travailleurs eux-mêmes. » K. Marx

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Unifions les luttes !

Fin juin, il y avait près de 100.000 chômeurs dans la Région bruxelloise, une augmentation de 8,9 % par rapport à juin 2008. Dans la même période, le nombre de demandeurs d’emploi a crû de 23,5 % en Flandre et de 7,1 % en Wallonie.

Postiers en lutteDe la libéralisation à la lutte des postiers

En 2003, l’Union européenne décidait de lancer une grande offensive de libéralisation des services publics. Parmi les différents services menacés, la poste est certainement le secteur où ce processus est le plus avancé. Depuis maintenant 4 ans, le gouvernement belge a travaillé d’arrache pied pour respecter les critères et échéances de libéralisation des services postaux. La Poste devait être capable d’affronter le libre marché en 2011.

1er mai - un jour de lutte !

Le premier mai n’est pas un jour de fête. Si aujourd’hui les travailleurs ont congé, auparavant c’était un jour de grève pour les huit heures. Traditionnellement, le premier mai est une journée internationale de lutte pour la classe ouvrière. C’est une journée où l’on commémore les luttes passées, et c’est aussi l’occasion d’initier des discussions de fond sur les combats à venir. C’est ce caractère combatif que nous voulons rappeler et rétablir.

Appel à la lutte contre les licenciements et les attaques dans les usines de montage automobiles partout dans le monde

SolidaritéOn a assisté à une évolution de la crise économique internationale et de la politique des patrons et de leurs gouvernements partout dans le monde. Des milliards et des milliards de dollars d'argent public sont en train d'être lâchés aux entreprises, alors qu'à nous, travailleurs, on nous tient le discours des licenciements et de la nécessité d'abandonner nos droits sociaux et de réduire nos salaires.

Pour augmenter le pouvoir d’achat : le pétrole dans l’index !

Image Pour sauver Fortis et Dexia, touchés de plein fouet par la crise financière internationale, le gouvernement a mis 7,7 milliards sur la table. Reynders nous rassure en disant que l’Etat « investit » et ne prend pas cet argent dans son budget, mais ce qui est sûr c’est que la dette s’alourdit et que ce sont les travailleurs qui paieront.