mars 2012
Contre la guerre sociale de l'UE et des gouvernements de la troïka
A bas les coupes budgétaires et les réformes du code du travail !
Pas un euro de plus pour les banquiers !
Aucun paiement de la dette publique aux banquiers !
Pour un plan de sauvetage des travailleurs et du peuple !
Pour une réponse européenne unifiée à la guerre sociale !
Les gouvernements européens ont déclaré une guerre sociale ouverte aux travailleurs, aux jeunes et aux secteurs populaires de tout le continent, afin d'imposer un recul historique.
Lire la suite : Manifeste de la Coordination européenne de la LIT-QI
1er juillet 2014 - Ricardo Ayala
Un vote contre l'austérité, l'UE et l'euro, capitalisé par la droite
Le résultat des élections européennes est considéré par certains médias impérialistes comme un véritable séisme politique, sans parler de l'importante abstention, qui a atteint plus de 80 % dans certains pays.
Lire la suite : Elections européennes
29 juin 2014
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Une machine de guerre contre les travailleurs et les peuples
L’étroite marge de manœuvre du capital financier en Europe, face à la compétition mondiale des grands monopoles, ne peut être agrandie ou maintenue que si la limite imposée par les salaires et les conquêtes sociales du prolétariat se rétrécit. Une nouvelle période de croissance économique, soutenue par de nouveaux investissements, n’est possible que si l’impérialisme parvient à imposer au prolétariat européen des conditions d’existence très inférieures à la norme établie depuis la Seconde Guerre mondiale. La décadence économique du continent impose de plus en plus de sacrifices au prolétariat : c'est la condition pour qu’une poignée d’Etats impérialistes européens, associés à l’impérialisme étasunien, puissent continuer le pillage de leur propre périphérie européenne et du monde.
Lire la suite : L'Union européenne
A bas le diktat de l’Union européenne !
Lire aussi, dans Presse Internationale nr.84 :
Y a-t-il une solution à la crise de la dette, dans le cadre de l'UE et de l'euro ?
Le jeudi 5 janvier, le Commissaire européen Olli Rehn envoya une lettre au gouvernement Di Rupo qui lui imposait d’adopter des coupes de 1,2 à 2 milliards d’euros dans le budget 2012, exigeant une réponse «
au plus tard pour lundi matin » (9 janvier). Le lendemain, le gouvernement gela des dépenses publiques pour le montant requis. Le « socialiste » à la tête du gouvernement se limite à regretter la crise, causée par «
la cupidité d’une partie du monde de la finance ».[1] Et aux militants de la CGSP qui dénoncent les « mesures antisociales du gouvernement », il exhorte à «
ne pas dire de choses excessives, au risque de conduire les citoyens vers l’abime ».[2]
Lire la suite : NON à l'UE
juin 2013
Arrêter la catastrophe sociale : lutter pour une Europe des travailleurs et des peuples.
Un Manifeste « promu par un certain nombre d'économistes au sein de la gauche » vient de paraître sous le titre :
Que faire de la dette et de l'euro ? Parmi les signataires, il y a notamment Francisco Louça, ancien député du
Bloc de gauche du Portugal et membre du Comité International de la IVe Internationale (l'ancien Secrétariat unifié), ainsi que Catherine Samary et Michel Husson, de la France, et Daniel Albarracin d'Espagne. Ils présentent le Manifeste comme une proposition alternative, à partir de la gauche, pour faire face à la crise de la dette – qui a condamné la périphérie de l'Europe à la catastrophe sociale et a terrassé la souveraineté de ces pays.
Lire la suite : En réponse au Manifeste : Que faire de la dette et de l'euro ?